We, the French and/or English speaking people, commonly refer to people coming from the USA as Americans, unlike other peoples from the same continent. But how did the US get this metaphorical trademark on the name "America" and its derived demonym? And why is it relevant to think about it?
Édito
Donne ton avis ! Si tu n’en as pas, lis celui des autres.
Les tensions, puis l’arrivée de la guerre entre la Russie et l’Ukraine ont créé un mouvement de migration du peuple ukrainien dans les pays limitrophes (Pologne, Roumanie, Hongrie…) et dans les pays d’Europe. Ce flux de migration s’élève à plus de 3,7 millions de personnes. Alors que les Ukrainien.nes pensaient fuir le cauchemar, une bonne partie d’entre elles et eux en ont rejoint un autre.
Un petit havre de paix dans une cage d'escalier du bâtiment d'Uni Mail a été le lieu de plusieurs attaques provocatrices anonymes à l'encontre de la communauté estudiantine de confession musulmane durant les derniers mois. Ces actes ont culminé avec des affiches de Charlie Hebdo collées dans cet espace de méditation.
Alors que les drames liés aux migrations ne cessent de se multiplier, les décisions politiques et positions populaires s'obstinent quant à elles à détourner le regard ; pire, à laisser ces catastrophes humaines se produire. Aujourd'hui témoins d'une réelle non-assistance à personnes en danger, "la place [ne serait] plus à l'indignation mais à la rage"...
Un nom de plus s’ajoute aux accusés de harcèlement sexuel : aujourd’hui c’est Eric Zemmour qui voit ressurgir des faits accablants datant d’une quinzaine d’années. A un an des présidentielles en France, ses partisans prennent sa défense : pourrait-il s’agir d’inventions pour nuire au polémiste qui divise?
Do Black lives really matter if their art, culture, fashion, films and contributions to society, go unnoticed? These three famous words have been shouted world-wide for years and even more so recently, yet numerous studies continue to show that black culture is at best ignored, and at worst snubbed and devalued.
À l’heure où le hashtag MeToo continue de dénoncer les violences faites aux femmes, le monde de la mode est loin de faire exception. Au contraire : avec des créateurs reconnus face à des femmes prêtes à tout pour réussir, les abus fusent depuis de nombreuses années, bien recouverts par les paillettes du métier.