Initialement lancé en 2012 comme le média étudiant de Science politique de l’Université de Genève, TOPO est depuis devenu le média étudiant de l’Université de Genève, cherchant à développer un sens critique au coeur d’une société aux multiples facettes et en constante évolution.
La diffusion de l’information
TOPO est un véritable média multi-supports : écriture, photographies, graphiques, réalisations. Chacun d’entre eux peut être utilisé pour permettre au public une expérience unique. Le pôle Journal agrémente ce site web et ses huit rubriques, le pôle TV anime la WebTV sur YouTube et le pôle Community assure des débats accessibles et des moments privilégiés pour les membres de l’association.
Se dépasser en écrivant…
TOPO c’est aussi une conception différente du journalisme établie dans un manifeste. Essayer de prendre conscience de nos attaches à des courants de pensée est un de nos objectifs. Nous pensons que nos opinions sont en parties déterminées par le contexte dans lequel nous somme. Ce contexte agit comme des lunettes qui nous laisse entrevoir une certaine vision du monde. En tant que TOPOïstes, nous n’essayons pas de briser ces lunettes imposées par nos propres conceptions normatives de la réalité, en nous cachant derrière une objectivité factice, car cela semble utopique. Nous préférons travailler avec ardeur afin de les mettre à jour, d’exposer leurs faiblesses et de tenter de les dépasser par la réfutation. C’est ainsi que nous entendons l’expression « tendre vers un sens critique ».
Un acteur indépendant de la vie étudiante
TOPO est une véritable association indépendante. C’est le seul journal universitaire de l’UNIGE qui n’est pas publié par une association facultaire. TOPO est aussi une plate-forme d’expression et un acteur de la solidarité estudiantine. Nous traitons de l’actualité associative et politique universitaire. Nous organisons également des événements informels et d’autres plus formels durant lesquels nous débattons sur des sujets politiques. TOPO a par exemple organisé une conférence avec Darius Rochebin durant la journée du journalisme de 2015.